marketing

Le défaut du bilinguisme, c'est l'intégrisme.

Quand un français voit arriver un nouveau mot, il pense plutôt à de l'imagination sémantique ou publicitaire, et l'adopte assez facilement .

Le québécois y voit une tentative d'agression linguistique qu'il s'empresse de juguler.

Le français s'amuse des préconisations de l'académie française, alors que le québécois applique religieusement les choix de l'office linguistique.

On parlera des belges une autre fois.

::